Page 79 - De la grande crise à la grande purge
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Marc CARL De la grande crise à la grande purge
Pandémie virale du Covid 19 (suite 1) : vers
une accusation de crime contre l'humanité ?
(28-04-2020)
Jusqu'en avril 2020, la pandémie de Covid19 avait été focalisée,
par les principaux gouvernements et media occidentaux, sur un
point de départ situé arbitrairement à Wuhan (Chine) depuis no-
vembre 2019. Ce qui était faux. Après avoir laissé dire et faire quelque temps,
pendant qu'elles préparaient des contre-mesures suffisantes, les autorités
publiques chinoises ont donc finalement réfuté une telle accusation, et elles ont
resitué l'épidémie ailleurs et bien plus tôt, c'est-à-dire aux USA pendant l'été
2019, ce qui a inversé publiquement les rôles et les responsabilités.
En fait, les dirigeants chinois, qui suivaient ce processus depuis sa véritable
source, savaient qu'il s'agissait d'un n. ième mauvais coup dirigé contre leurs inté-
rêts nationaux. Mais il leur fallait des preuves solides pour démontrer l'agression.
Ils ont donc attendu que le séquençage génétique du nouveau coronavirus ait été
précisé de manière scientifiquement incontestable, par plusieurs autorités bio-
médicales internationales, et le résultat des travaux a effectivement démontré
que le tronc commun des diverses variantes et mutations du virus, dûment retra-
cé, menait aux USA (et indirectement à des travaux français de l'Institut Pasteur).
D'autres faits étaient retracés aussi. Entre janvier et août 2019, le gouverne-
ment des USA avait lancé le projet Crimson Contagion, piloté par Robert Kadlec
(médecin-officier de l'USAF), qui réunissait leurs principales agences fédérales
pour préparer une prochaine pandémie de grippe "d'origine chinoise". Puis une
opération nommée Event201 en avait marqué le début de mise en œuvre. En
décembre 2019 et janvier 2020, des informations et des pré-alertes avaient
circulé sur les réseaux sociaux chinois pour prévenir la population d'une offen-
sive étrangère en cours, utilisant des armes biologiques. Effectivement, il a été
vérifié que le coronavirus Covid19 visait une cible biologique (l'enzyme ACE2)
particulièrement distinctive des populations d'Asie du nord-est (Chine, Corée,
Japon). Et des opérateurs américains avaient préalablement été vus en train de
prélever sous couvert d'études de santé mondiale des échantillons d'ADN de
paysans chinois (plusieurs dizaines de milliers), échantillons traités ensuite à
l'Université d'Harvard pour le compte de l'armée américaine.
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