Page 81 - De la grande crise à la grande purge
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Marc CARL De la grande crise à la grande purge
Grâce à quoi la Californie auto-vaccinée avait pu enregistrer presque 15 fois
moins de mortalité que New-York, par exemple, lorsque la pandémie s'est
réactivée et étendue partout aux USA dès l'hiver 2019.
Quoi qu'il en soit, sachant que beaucoup de victimes internes décédées aux
USA ont été reconnues, même tardivement, porteuses du coronavirus depuis
l'été 2019, il était dès lors publiquement probant que la contamination y avait
commencé à cette époque, a-fortiori puisque des anticorps avaient eu le temps
de protéger certains contaminés en Californie, avant que la pandémie soit
étendue pendant l'hiver 2019-2020 à la plupart des régions du monde.
Un autre fait évident et important est que cette propagation mondiale s'est
effectuée avec la contribution (majoritairement involontaire) de militaires améri-
cains. En effet, outre en Iran, si l'on considère les principaux foyers extérieurs
d'où s'est d'abord déployée la pandémie, en Chine et en Italie du nord, il faut
remarquer que de grandes bases des USA du nord de l'Italie (Aviano et Ghedi
Torre) accueillaient plus de 10.000 militaires américains, et que plusieurs cen-
taines de militaires américains avaient participé aux Jeux Militaires Mondiaux
de Wuhan, juste avant l'apparition du virus en Chine.
Mais il y a plus grave : on a découvert que l'instrumentalisation de ces mili-
taires avait été prévue dès l'origine par les instigateurs et les profiteurs de ce
mauvais coup, ce qui expliquait notamment pourquoi les "fuites accidentelles
de produits biologiques risqués" de Fort Detrick avaient été peu médiatisées,
mais pas craintes. En fait, les militaires américains auraient dû être protégés
par un vaccin qui devait être confectionné à partir d'anticorps viraux de patients
rendus auto-résistants (californiens ?), selon une nouvelle technologie génique
produisant une duplication artificielle accélérée de ces anticorps par l'orga-
nisme des patients vaccinés. Or, ce scénario n'a apparemment pas aussi bien
fonctionné que prévu, puisque les vaccins préparés selon cette technologie se
sont révélés problématiques, instables, peu efficaces, et porteurs d'effets no-
cifs. Et plus le virus mutait, plus ils devenaient inopérants ou contre-indiqués.
Alors que l'opération était déjà lancée, ceci a temporairement gêné la vacci-
nation généralisée prévue, potentiellement porteuse d'énormes bénéfices pri-
vés et d'un contrôle sociétal renforcé, une telle vaccination devant être étendue
massivement dès que la pandémie artificielle aurait généré assez de stress
dans les diverses sociétés civiles contaminées. Plus encore, il en a résulté des
problèmes dans l'armée américaine, au fur et à mesure que des militaires
contaminés et sans protection y devenaient indisponibles pour leur service,
handicapant les moyens d'action du Pentagone.
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