Page 94 - synthese introductive eco-humanisme
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Marc CARL                         un grand projet humain / synthèse introductive



             Le groupe se déclare à l’autorité judiciaire compétente et légitime dès
          qu’il peut agir ès-qualités sans compromettre son existence et sa sécuri-
          té. Il s’identifie alors officiellement par un nom de son choix et est ad-
          ministrativement domicilié en tout lieu compatible avec sa sécurité. Il
          réunit au maximum [20] membres, et n’a pas de durée déterminée.
            Son référentiel juridique et éthique, utilisé pour qualifier les actes et les
          poursuites des criminels, abuseurs, et prédateurs anti-sociétaux, inclut
           - la Charte Internationale des Droits de l’Homme, composée essen-
           tiellement  des  textes  des  résolutions  de  l’AG  de  l’ONU  n°  217,
           2200, 53/144, et 60/147, et en complément
           - le Code de conduite pour l’application des lois (résolution 34/169),
           - le Code de conduite des agents publics (résolution 51/59),
           - la Convention internationale contre la corruption (résolution 58/4),
           - ces textes étant orientés en outre par la Charte Fondamentale des
           Principes  Sociétaux  Protecteurs  (contribution  du  réseau  d’ONG
           Gaia  Mater  en  statut  consultatif  permanent  au  Conseil  Econo-
           mique et Social de l’ONU).

            Les volontaires super-Y peuvent toutefois agir, si nécessaire, par dé-
          rogation exceptionnelle et justifiée aux textes de droit positif et d’ordre
          public localement applicable, dans la mesure où l’abus et le mépris de
          telles dispositions par les criminels antisociétaux visés, permettant de
          corrompre, d’obliger, ou d’ignorer le comportement public légal et
          l’expression de la légitimité citoyenne, ces criminels peuvent abuser
          de procédures et de services publics pour échapper aux enquêtes et
          aux poursuites, et pour nuire notamment à l’action et à la personne
          des volontaires super-Y.
            L’identité et l’activité des volontaires super-Y sont donc protégées,
          connues seulement par leurs propres représentants-arbitres, et justifiées
          seulement dans un cadre judiciaire sécurisé, compétent, et légitime.

            Les représentants-arbitres du groupe en étant aussi les représen-
          tants officiels, déclarables à l’autorité judiciaire compétente, et expo-
          sés d’autant, ils ne participent pas aux opérations de terrain pendant
          leur mandat, et ils s’occupent essentiellement de la discipline, de la
          logistique internes, et de l’interface représentative publique.



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