Page 67 - De la grande crise à la grande purge
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Marc CARL               De la grande crise à la grande purge



              Le groupe se déclare à l’autorité judiciaire compétente et légitime dès
            qu’il peut agir ès-qualités sans compromettre son existence et sa sécuri-
            té. Il s’identifie alors officiellement par un nom de son choix et est ad-
            ministrativement domicilié en tout lieu compatible avec sa sécurité. Il
            réunit au maximum [20] membres, et n’a pas de durée déterminée.
              Son référentiel juridique et éthique, utilisé pour qualifier les actes et les
            poursuites des criminels, abuseurs, et prédateurs anti-sociétaux, inclut
              - la Charte Internationale des Droits de l’Homme, composée essentiel-
                lement des textes des résolutions de l’AG de l’ONU n° 217, 2200,
                53/144, et 60/147, et en complément
              - le Code de conduite pour l’application des lois (résolution 34/169),
              - le Code de conduite des agents publics (résolution 51/59),

              - la Convention internationale contre la corruption (résolution 58/4),
               ces textes étant orientés en outre par la Charte Fondamentale des Prin-
            cipes Sociétaux Protecteurs (contribution du réseau d’ONG Gaia Mater
            en  statut  consultatif  permanent  au  Conseil  Economique  et  Social  de
            l’ONU).
              Les volontaires super-Y peuvent toutefois agir, si nécessaire, par dé-
            rogation exceptionnelle et justifiée aux textes susvisés, et par dérogation
            au droit positif et d’ordre public localement applicable, dans la mesure
            où l’abus et le mépris de telles dispositions par les criminels antisocié-
            taux visés, permettant de corrompre, d’obliger, ou d’ignorer le compor-
            tement public légal et l’expression de la légitimité citoyenne, ces crimi-
            nels peuvent abuser de procédures et de services publics pour échapper
            aux enquêtes et aux poursuites, et pour nuire notamment à l’action et à
            la personne des volontaires super-Y.
              L’identité et l’activité des volontaires super-Y sont donc protégées,
            connues seulement par leurs propres représentants-arbitres, et justifiées
            seulement dans un cadre judiciaire sécurisé, compétent, et légitime.
              Les représentants-arbitres du groupe en étant aussi les représentants
            officiels,  déclarables  à  l’autorité  judiciaire  compétente,  et  exposés
            d’autant,  ils  ne  participent  pas  aux  opérations  de  terrain  pendant  leur
            mandat, et ils s’occupent essentiellement de la discipline et de la logis-
            tique internes, et de l’interface représentative publique.

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