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Memento pratique de l’éco-humaniste


                       Apporter utilement à l'Humanité.


                Pour cela on peut rappeler que l’Etre humain le plus méritant est
             celui qui a apporté le plus utilement à son espèce et à sa société, qui
             a fait le plus de bien possible à d’autres Êtres humains, qui a donné
             le meilleur exemple, et qui a contribué à améliorer la culture, les
             moyens, et la protection, de la collectivité la plus large possible.
                Le parent peut alors prescrire à l’enfant des comportements tels
             que : " relie-toi solidairement à d’autres par la coopération et le
             partage réciproques ; à chaque occasion, reçois et donne aussi uti-
             lement que possible ; sauf en cas de défense ou de sanction légitimes,
             profite de ta vie et de ton environnement sans subir ni faire subir de
             mal, à d'autres ou à toi-même ; sème autour de toi du bonheur et de
             l'aide, et partages-en les fruits ; évite le conflit et l'opposition tant
             que tu peux le faire sans lâcheté ".
                Dans ces conditions, un apport particulièrement utile de l’éco-hu-
             manisme à l’esprit humain est un bon équilibre entre un apaisement
             clairvoyant et une dynamisation constructive, ceci sans sacrements ni
             prières, sans dépendance d’un quelconque parti, église, idéologie, ou
             organisation, contraires à l’intérêt général humain. Ainsi, tant au ni-
             veau individuel que collectif, l’esprit humain bien construit et proac-
             tif peut induire des comportements profitables à la fois à l’intérêt per-
             sonnel et à l’intérêt général, en renforçant la grande Maison humaine
             commune, qui améliore d’autant sa qualité et ses moyens.

                 Porté par cette dynamique constructive, l’éco-humanisme incite à
             protéger et à valoriser les structures traditionnelles (famille, nation,
             etc) qui optimisent une cohésion sociétale dans l’intérêt général hu-
             main. Et inversement, l’éco-humanisme s’oppose aux organisations
             et aux comportements prédateurs ou parasites, fonctionnant notam-
             ment selon des motivations de clanisme, de tribalisme, d’oligarchie,
             mais aussi de religiosité conflictuelle ou de lucre, qui sapent ou em-
             pêchent l’indispensable cohésion de l’ensemble civilisé humain. Ses
             comportements  correcteurs  essentiels  sont  modélisés  dans  une
             Charte Fondamentale des Principes Sociétaux protecteurs.





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