Page 95 - De la grande crise à la grande purge

Marc CARL De la grande crise à la grande purge

Point stratégique 3 pour l'issue de crise Covid19 :

"l'empire bientôt au pied du mur"

(26-08-2020)

Une échéance mondiale particulière approche, puisque dans 5 mois, le
coup d'envoi officiel, annoncé pour la fin du mois de janvier 2021 à Davos
(Suisse), d’un "grand reset" financier et
politico-économique général, concocté par
le Forum Economique Mondial pour le
compte des lobbies plouto-impérialistes, va
être concomitant avec l'impasse autodes-
tructrice de l'élection présidentielle aux USA,
porteuse de graves affrontements internes, déjà amorcés, et prêts à contami-
ner ensuite d'autres pays, y compris en Europe. De gros moyens sont impli-
qués, d'autant plus que de puissantes structures occidentales de projection de
violence armée, plus ou moins livrées à elles-mêmes dans ce contexte, peu-
vent contribuer à l'aggravation de tels affrontements, tant internes qu'externes,
civils et militaires.
Avant et pendant le lancement dudit grand reset, tout cela ira temporaire-
ment dans le sens de l'agenda plouto-impérialiste annoncé. Car l'un des buts
des violences est de pousser les populations impactées à accepter les condi-
tions du reset prévu, en les laissant espérer pouvoir sortir ainsi de leur cau-
chemar sociétal provoqué, et retrouver une vie meilleure dans un nouvel ordre
mondial prétendu meilleur. Ce qui est chimérique, car ce reset illégitime im-
plique la création d'une structure technocratique supranationale déguisée en
nouveau "big brother" bienveillant seulement en apparence, pratiquant une
ingénierie sociale appuyée sur l'Intelligence Artificielle (IA), avec une mainmise
renforcée des Banques Centrales, le tout garantissant durablement les privi-
lèges politico-économiques de la pseudo-élite ploutocratique qui l'organise.
Il s'agit d'un projet pervers, introduisant un transhumanisme élitiste, assorti
d'un crédit social liberticide, de cryptomonnaies et d'écologie faussaires, dans
un enrobage fallacieux de revenu de base, de paix publique, de soins gratuits,
et d'assainissement fictif des finances par effacement de tout ou partie des
dettes souveraines. De manière imagée, le crédit social projeté pourrait plutôt
chercher à imposer un méga-parasitisme ploutocratique durable en empê-
chant l’éventuelle concurrence d’un micro-parasitisme civil personnel.

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